Sinopsi testi (160)
GRAN BAZAR (il criceto oreintale) Une sorte de grand bazar ambulant, le Grand Bazar, ouvre et ferme ses portes en se déplaçant dans un monde ravagé par des explosions aussi fréquentes qu'incongrues, par le manque d’eau, par un déclin généralisé. Une chaleur effroyable pèse sur tout. Le Grand Bazar vend une eau de source extrêmement rare en bouteille en verre ; des larves, des grillons, des sauterelles et des ermites sous vide ; des vêtements simples mais de grande qualité pour dames et messieurs ; de petits miroirs pour mieux se connaître... Et ce n'est pas tout : lecture de la main avec services sexuels éventuels moyennant un petit supplément, tarot, horoscope, coiffure par le coiffeur Antoine et une brève consultation avec le psychologue du Grand Bazar, le trio Rebecca (un et trois, masculin et féminin). Enfin, la délicatesse que tout le monde rêve de pouvoir manger : le hamster oriental, une grande rareté. Trois hommes - employés ? Vendeurs ? Cadres ? - font la publicité des merveilles infinies du Grand Bazar au mégaphone. Un client mélancolique, craintif et plein d'espoir arrive à l'heure d'ouverture et est immédiatement submergé par des offres mirifiques, des biens totalement superflus, une lecture de la main, un horoscope, une courte séance de psychothérapie avec le trio Rebecca, un petit ajustement - sans eau - des cheveux avec le grand Antoine pendant que des explosions plus ou moins lointaines se succèdent. Et il achète, hébété, entraîné dans le tourbillon. Il achète un sombrero, des larves et des sauterelles, des shorts de football, un ours en peluche, un miroir. Les trois employés/vendeurs/cadres se servent d'une benne à ordures d'où ils extraient les différents articles et vêtements, perruques, peignoirs, accessoires variés, pour ensuite les remettre à l'intérieur. En effet, ce sont eux trois qui représentent tour à tour le coiffeur Antoine et ses clientes, le trio Rebecca, le lecteur de tarot Fritz et la lectrice de la main, la gitane Sibilla, qui parle une langue incompréhensible. Au moment du paiement (roubles, yens, dollars, tout est bon), le client est accusé d'être un "agent étranger" non spécifié. Il est soumis à des intimidations et à un interrogatoire musclé (les mêmes trois employés en tant que policiers), nie les accusations, terrorisé. Et... voilà, les lumières se rallument dans la salle : c'était tout un jeu, un spectacle au bénéfice des clients du Grand Bazar (le public dans la salle). Le client a une crise nerveuse : il pleure, rit, bave, implore la pluie... Il implore les chênes, les roses, les étoiles, qu'il a vus dans les dessins, pas dans la vie. Mais la réalité est implacable :tout se remet en place et au client est offert gracieusement une collation à base de larves. Le Grand Bazar est généreux, il est impérissable. Un monde futur ou un univers parallèle absurde ? |
GRAN BAZAR (il criceto oreintale) Una specie di grande magazzino ambulante, il Gran Bazar, apre e chiude i suoi battenti muovendosi in un mondo devastato da esplosioni tanto abituali quanto incongrue, dalla mancanza d’acqua, da un disfacimento generale. Su tutto incombe un caldo spaventoso. |
VOCI LÀ DOVE LA BATTAGLIA La scène s'ouvre sur le bunker de la chancellerie d'Hitler où se déroulent les dernières heures du dictateur et où les époux Goebbels s'apprêtent à empoisonner leurs enfants au cyanure. Cependant, le dirigeant nazi ne peut s'empêcher de se remémorer son histoire d'amour avec la magnifique actrice tchécoslovaque Lida Baarova. Plusieurs décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'actrice se rend à Rome ; ensuite, alors qu'elle repart pour Salzbourg, alors que le train quitte lentement la gare, elle descend clandestinement près d'un péage. Là, par hasard, elle rencontre le boxeur Tiberio Mitri, ancien champion italien et européen des poids moyens et challenger du champion du monde Jack La Motta. Leur rencontre est d'abord assez conflictuelle et méfiante ; chacun écoute incrédule les récits de leur passé respectif. Provocateur et exaspéré, Tiberio décide même de l'abandonner ; alors qu'elle s'éloigne de cette voie ferrée, Lida est attaquée par trois criminels qui veulent la voler et la violer. Cependant, entendant ses cris désespérés, Tiberio accourt à son secours. En la voyant combattre et frapper les agresseurs avec précision et puissance, il n'a plus aucun doute sur qui elle est. L'acte noble de Tiberio déclenche leurs histoires, ouvre leurs cœurs, créant quelque chose de plus qu'une simple attraction mutuelle. Mais Lida, tout comme Tiberio, a des comptes à régler avec ses démons et maudit toujours Goebbels, empêché par la volonté d'Hitler d'épouser une femme d'une race inférieure. En racontant en détail les circonstances de leur flirt, elle révèle ses grands espoirs de devenir une star de cinéma et la compagne de l'un des hommes les plus importants du régime nazi. Tiberio évoque également dans sa propre narration les relations tumultueuses avec sa femme Fulvia, Miss Italie en 1948, le défi mondial contre La Motta à New York, raconté par La Motta lui-même lors de son retour en Sicile, et ses ambitions dans le cinéma. Mais en tant qu'acteur autant que boxeur, pour des raisons futiles et par manque d'équilibre, il a été incapable de remporter le titre mondial et ensuite de saisir la grande opportunité d'être le protagoniste d'un film d'Antonioni. Intercalée dans la narration, la voix d'une jeune fille apparaît et disparaît sur la voie ferrée, récitant des vers d'un poème d'un enfant du camp de concentration de Terezín. Et dans le cœur des deux, sur lesquels pèsent encore les fautes et les atrocités du monde de l'après-guerre, se profile la conscience qu'ils doivent eux aussi recueillir leurs voix, comme toutes les voix mineures, là où la grande bataille entre le bien et le mal a éclaté, pour les arracher au moins à l'oubli. Tiberio et Lida se séparent avec cette intention dans le cœur, mais le chemin de croix du grand boxeur s'enfonce dans la solitude et la maladie qui le ramènent encore sur cette voie ferrée. Une vision lui apparaît, ressemblant à sa Liduska, mais il ne remarque pas le train qui approche par derrière, comme lorsque l'on suit un objet en bordure de voie ferrée et en peu de temps, on ne peut même plus l'imaginer, tant l'apparition a été brève. |
VOCI LÀ DOVE LA BATTAGLIA La scena si apre sul bunker della cancelleria di Hitler dove si consumano le ultime ore del dittatore e i coniugi Goebbels si apprestano ad avvelenare i figli col cianuro, ma il gerarca nazista non può fare a meno di rievocare la sua storia d’amore con la bellissima attrice cecoslovacca Lida Baarova. Alcuni decenni dopo la fine della Seconda guerra mondiale l’attrice si reca a Roma; poi, nel ripartire per Salisburgo, mentre il treno lascia lentamente la stazione, scende di nascosto nei pressi di un casello. Qui incontra casualmente il pugile Tiberio Mitri, ex campione italiano ed europeo dei pesi medi e sfidante del campione del mondo Jack La Motta. Il loro incontro dapprima è alquanto scontroso, diffidente; ognuno ascolta incredulo i reciproci racconti della loro storia passata. Tiberio, provocato ed esasperato, decide perfino di abbandonarla; allontanatosi da quel binario, Lida viene assalita da tre malviventi che vogliono derubarla e violentarla. Egli tuttavia sente le sue grida disperate e accorre in soccorso e lei, vedendolo combattere e colpire gli aggressori con precisione e potenza, non ha più alcun dubbio su chi egli sia. La nobile azione di Tiberio fa decollare le loro storie, apre i cuori dei due creando qualcosa di più di un’attrazione reciproca. Ma Lida, come Tiberio, ha un conto aperto con i suoi fantasmi e maledice ancora Goebbels, impedito dalla volontà di Hitler a sposare una donna di razza inferiore. Nel raccontare circostanze dettagliate del loro flirt, rivela le sue grandi speranze di diventare una stella del cinema e la partner di uno degli uomini più importanti del regime nazista. Anche Tiberio coinvolge nella propria narrazione i burrascosi rapporti familiari con la moglie Fulvia, Miss Italia nel 1948, la sfida mondiale a La Motta a New York, rievocata dallo stesso La Motta nel suo ritorno in Sicilia, e le sue ambizioni nel cinema. Ma come attore così come pugile, per futili motivi e mancanza di equilibrio, fu incapace prima di vincere il titolo mondiale e poi di cogliere la grande occasione di essere protagonista in un film di Antonioni. A intercalarsi nella narrazione la voce di una fanciulla che appare e scompare sul binario, recitando versi di una poesia di un bambino del campo di concentramento di Terezín. E nel cuore dei due, su cui incombono ancora le colpe e le atrocità del mondo del secondo dopoguerra, si fa strada la consapevolezza di dovere raccogliere lo stesso le loro voci, come tutte le voci minime, laddove la grande battaglia del bene e del male è scoppiata, per strapparle quantomeno all’oblio. Tiberio e Lida si separano con questo proposito nel cuore, ma la via crucis del grande pugile s’inabissa nella solitudine e nella malattia che lo portano ancora su quel binario. Una visione gli appare, sembra la sua Liduska, ma non si accorge del treno che sopraggiunge alle spalle, come quando si segue un oggetto al margine della ferrovia e in breve non si può più nemmeno immaginarlo, tanto breve è stata l’apparizione. |
MASSIMILIANO I IN MEDA 1496. Ludovic le More est duc de Milan et seigneur de Gênes. Mécène d'artistes et d'intellectuels, entrepreneur habile, promoteur d'innovations civiles et militaires, il conféra à Milan les prérogatives d'une ville de niveau européen. Pourtant, les historiens ont parfois des jugements mitigés sur lui. Machiavel, par exemple, le considérait comme responsable de guerres et d'invasions étrangères sur la péninsule. L'action de la pièce se déroule dans la rue des blés du marché de Meda, où eut lieu la rencontre historique entre Ludovic le More, Béatrice d'Este, sa femme, et l'empereur Maximilien Ier d'Autriche, pour organiser une alliance contre Florence. Meda était alors un village dans la sphère politique de Milan. Les événements de cette rencontre sont racontés du point de vue des classes rurales et bourgeoises, fatiguées des guerres incessantes, des oppressions économiques et d'un duché qui ne permettait pas les libertés dont ils avaient besoin pour progresser. Dans la Via delle Biade, la jeune Gemma, fille d'un chef de famille de marchands, nourrit des rêves impossibles pour l'époque : elle ne veut pas se marier, elle veut devenir artiste et surtout elle souhaite un monde sans injustices sociales et de genre. Lorsqu'elle reconnaît, sous les traits de deux petites bourgeoises visitant le marché de Meda, la duchesse de Milan Béatrice d'Este et sa dame de compagnie Teodora Angelini en incognito, la jeune fille ne laisse pas passer l'occasion d'exprimer le mécontentement populaire envers la politique ducale. Béatrice, tout en conservant l'anonymat, défend passionnément l'action de son mari. La mère de Gemma réprimande sévèrement sa fille, car exprimer ses pensées expose gravement la famille, mais la jeune fille, instruite par les moniales du monastère bénédictin de Meda, comprend que le changement de société n'est possible que si l'on accepte le sacrifice et le risque personnels, et en plus, avec un coup de théâtre, révèle à sa mère que sa rébellion contre le mariage arrangé n'est qu'un stratagème pour flirter avec le jeune homme dont elle est en réalité amoureuse. Ludovic et Maximilien ne sont pas présents sur scène, ce sont des personnages racontés et tout l'événement est relaté en flash-back et en flash-forward par les autres personnages. Avec un style sobre, une scénographie essentielle, des dialogues vifs et une profondeur historique, l'auteur montre que l'Histoire, souvent étudiée avec ennui dans les livres, présentée sous forme de théâtre, peut non seulement plaire, mais aussi rendre les temps dans lesquels nous vivons plus compréhensibles. "Massimiliano I in Meda" a été mis en scène en 2022 à Meda à l'occasion des manifestations des "Ville Aperte" de Monza et Brianza. |
MASSIMILIANO I IN MEDA 1496. Ludovico il Moro è duca di Milano e signore di Genova. Mecenate di artisti e intellettuali, abile imprenditore, promotore di innovazioni civili e militari, egli conferì a Milano le prerogative di una città di livello europeo. Eppure gli storici danno su di lui giudizi non sempre favorevoli. Machiavelli, per esempio, lo ritenne responsabile di guerre e invasioni straniere sulla penisola. L’azione della pièce si svolge nella via delle biade del mercato di Meda, dove avvenne lo storico incontro tra Ludovico il Moro, Beatrice d’Este, sua moglie, e l’imperatore Massimiliano I d’Asburgo, per organizzare un’alleanza contro Firenze. Meda, all’epoca era un borgo nella sfera politica di Milano. Le vicende di quell’incontro vengono raccontate attraverso il punto di vista dei ceti rurali e borghesi, stanchi delle continue guerre, delle vessazioni economiche e di un ducato che non consentiva le libertà di cui avevano bisogno per progredire. Nella Via delle Biade, la giovane Gemma, figlia di una capofamiglia di mercanti, coltiva sogni impossibili per i tempi: non vuole sposarsi, vuole diventare un’artista e soprattutto vorrebbe un mondo senza ingiustizie sociali e di genere. Quando riconosce, nelle vesti di due piccole borghesi che stanno visitando il mercato di Meda, la duchessa di Milano Beatrice d’Este e la sua dama di compagnia Teodora Angelini in incognito, la ragazza non si fa sfuggire l’occasione per esporre il malcontento popolare nei confronti della politica ducale. Beatrice, pur conservando l’anonimato, difende appassionatamente l’operato del marito. La madre di Gemma rimprovera aspramente la figlia, perché l’aver espresso i propri pensieri farà correre gravi rischi alla famiglia, ma la giovane, istruita dalle monache del monastero benedettino di Meda, ha gli strumenti per capire che il cambiamento della società è possibile solo se, per ottenerlo, si accettano sacrificio e rischio personali e, inoltre, con un colpo di scena, rivela alla madre che la propria ribellione al matrimonio che le sta organizzando è solo uno stratagemma per civettare con il giovane di cui, in realtà, è innamorata. Ludovico e Massimiliano non compaiono in scena, sono personaggi raccontati e tutto l’evento viene riferito in flashback e flash forward dagli altri personaggi. Con stile sobrio, scenografia essenziale, dialoghi vivaci e profondità storica, l’autrice dimostra che la Storia, che spesso si studia svogliatamente sui libri, presentata in forma di teatro, non solo può piacere, ma può rendere maggiormente comprensibili i tempi in cui viviamo. “Massimiliano I in Meda” è stato messo in scena nel 2022 a Meda in occasione delle manifestazioni per le “Ville Aperte” di Monza e Brianza. |
LO STRANO SOGNO DI SOLLY SOLISAR La comédie se compose de trois actes (à l'exception d'une légère variation entre le deuxième et le troisième), dans lesquels les mêmes personnages, un homme et une femme, âgés, peut-être mari et femme, peut-être frère et sœur, échangent leurs rôles. Dans le premier acte, elle est dans le coma, tandis que lui monologue, s'adressant à elle de manière prétexte, juste pour se tenir compagnie, tandis que dans le deuxième, les rôles sont inversés, lui dans le coma et elle monologue. Dans les deux situations, le seul contact avec le monde extérieur est représenté par quelques appels téléphoniques, dont nous ne savons cependant rien d'autre que ce que les deux personnages, l'homme et la femme, disent sur scène. Dans le troisième acte, enfin, situé à un moment peut-être antérieur, mais de toute façon non bien défini, les deux personnes âgées sont toutes deux éveillées et actives, en attente d'invités inconnus qui ne viendront pas. Un fil conducteur à travers les différentes situations, une comédie, "Le drôle de rêve de Solly Solisar", interprétée par les deux dans un passé lointain, lorsque, étudiants, ils faisaient partie d'un groupe de théâtre amateur. |
LO STRANO SOGNO DI SOLLY SOLISAR La commedia si compone di tre quadri (salvo che per una breve variazione fra il secondo e il terzo), nei quali gli stessi personaggi, un uomo e una donna, anziani, forse marito e moglie, forse fratello e sorella, si scambiano le parti. Nel primo quadro lei è in coma, mentre lui monologa, rivolgendosi a lei in modo pretestuoso, giusto per tenere compagnia a sé stesso, mentre nel secondo i ruoli sono invertiti, lui in coma e lei monologante. In entrambe le situazioni, l’unico contatto col mondo esterno è rappresentato da alcune telefonate, di cui tuttavia altro non sappiamo se non ciò che viene detto dai due personaggi, l’uomo e la donna, presenti in scena. Nel terzo quadro, infine, collocabile in un tempo forse precedente, in ogni caso non ben definito, i due anziani sono entrambi vigili e attivi, in attesa di ignoti ospiti che non arriveranno. Filo conduttore attraverso le diverse situazioni, una commedia, Lo strano sogno di Solly Solisar, interpretata dai due in un tempo lontano, quando, studenti, facevano parte di un gruppo teatrale amatoriale. |
ESCI DALL’INDIFFERENZA! In un condominio brianzolo, tutti sanno che uno di loro, Gino, umilia e picchia sistematicamente la moglie. La condomina più anziana informa l’amministratrice, la quale con una scusa convoca un’assemblea straordinaria a cui invita l’operatrice di un centro antiviolenza con l’obiettivo di convincere la coppia a partecipare a un programma di recupero. Durante l’assemblea, emerge la love story, che avrà lieto fine, fra i due condòmini più giovani. La pièce pone l’accento non solo sulla violenza di genere, ma anche sulla violenza in generale; mette sotto i riflettori l’aggressore piuttosto che la donna offesa e indica nell’azione congiunta di uomini e donne la possibilità di vittoria dell’intelligenza e della civiltà contro la barbarie. |
DERNIÈRE LETTRE À THEO Van Gogh revient. Il se réveille par hasard à Rome, à l’entrée du métro. Il a avec lui un trépied et une valise en carton avec le nécessaire pour peindre et écrire, mais son apparence de fou déchaîne immédiatement contre lui le mépris des passants. A ceux-ci s'alternent les vagues de passagers qui s’échappent névrotiquement du métro le submergeant plusieurs fois. Rapidement, il commence à avoir l'impression de se trouver dans un monde plus compromis et frénétique que jamais. Aux premières morsures de la faim, pour obtenir de l’aide et du réconfort, il engage un dialogue à distance avec son frère Théo, comme dans les centaines de lettres que les deux se sont échangées de 1872 à 1890. Quand il est maintenant seul et désespéré, il fait irruption sur la scène un marchand de sandwichs qui le traite durement et refuse de lui donner à manger gratuitement. Vincent se souvient cependant qu’il a sur lui 70 francs envoyés par Théo que le marchand accepte volontiers, jusqu’ à ce qu' il découvre sur les billets la date de 1870... |